Heavenly Mechanic

Il y a plus de deux cents ans, Enor découvrit la Pierre de Rose, accompagné d'un inventeur, disons, persévérant. Cet expérimentateur s’appelait Hilton Max, ou Max le Rivet, un jeune corbeau submergé par l'imagination. 

Max fut fasciné par cette petite pierre rose, qui avait réagis d'une drôle de manière au contact de Enor. Il plancha quelques mois, fasciné par cette pierre, jusqu'à découvrir qu'avec un peu de frottement et diverses manipulations techniques, cette petite pierre remplaçait à elle seule des tonnes d'eau et de vapeur : Une incroyable Energie. Mais une fois toute l’énergie utilisée, il ne restait rien de la pierre. Il en fallait d'autre. Alors il creusa avec une équipe de taupe dans un grand pré, là où Enor avait trouvé le premier cailloux gros comme un dé à coudre. Au bout de quelques dizaines de mètres de profondeur, le sol s'effondra, et Max tomba. Celui ci fut amorti par d'épaisses feuilles roses, il se trouvait au sommet d'un arbre immense et souterrain, aux milliards de feuilles roses, lumineuse dans les ténèbres. Après une visite de la cavité, Max et Enor arrivèrent à son tronc, ses racines, où des tonnes et des tonnes de sève rose fluorescentes  et abondantes jonchaient le sol et l'écorce. Plus tard, Enor décréta que s'il s'agissait bien d'une grande source d'énergie, celle-ci devrait être régulée, et que l'on ne devait pas plus en utiliser que ce que l'arbre donnait. 

L'arbre reçu comme nom de la part d'Enor le nom d'Arbre de Vie. Il n'expliqua jamais la raison d'un tel nom. Beaucoup disent que cela venait de l'animation des futurs machines, d'autre à cause de cette belle couleur fushia luminescente. 

A partir de cela, Max fit ses réserves. Enor lui demanda de construire une machine capable de battre les titans et les troupes de l'empereur Dragon. Durant cinqu années, Max fit de son mieux, en sombrant peu à peu dans une folie inventive. Enor s'imaginait une sorte de forteresse rouleante aux multiples canons, mais pas du tout... La forteresse ne roulait pas, elle volait ! Max cria partout en secouant les ailes vers le haut : "le Destructeur du ciel ! Le Destructeur du ciel !" 

Cette machine fonctionnait à merveille, et permis de battre, non sans difficulté et grâce à un équipage courageux, les titans mutés de l'empereur Dragon durant la grande Bataille du Lac d'Or. 

Mais Max, devenu fou, avait oublié une chose très importante : comment faire atterrir ces dizaines de tonnes de métal ? En l'écrasant ? Il refusait catégoriquement cette idée, et ne voulait plus partir de son chef d'oeuvre. Il y habitat donc. Son équipage construisit alors des petites machines volantes aux multiples hélices, afin d'apporter vivres et loisirs à l'inventeur fou. D'autres Hélices furent installées pour garantir un vole stable et permanent de la machine. Des membres de l'équipage prirent goût à vivre dans les aires. La machine s'agrandissait, d'année en année. Les habitations se décuplèrent, les curieux s'installèrent. A la mort de l'inventeur fou, une école fût construite en son honneur, qui s'agrandit aussi à son tour. Une usine de traitement de Pierre de Rose naquit, ainsi que des quartiers, des places de marché, des temples, des lieux de vie. La plupart des gens qui venaient y habiter avait pour raison qu'il s'agissait d'un paradis volant, où cette sensation de liberté ne se trouvait nul part ailleurs. Une Ville volante qui pris le nom de Heavenly Mechanic. 

Le Destructeur du Ciel existe encore au cœur de cette ville, pourtant oublié, seuls certains ancien habitants connaissent l’existence de cette Machine qui aida Enor durant la guerre contre l'Empereur Dragon. 

Aujourd'hui, c'est une ville alimentée par quatre immenses moteurs, ainsi qu'un moteur nomade et scellé. Elle n'est pas très propre, mais constitue un grand lieu de vie pour les créateurs, inventeurs, et pour l'incroyable université ingénierie et sciences qui se trouve au sommet.  

Pour une ville volante, elle navigue pourtant toujours au même endroit : une sorte de triangle entre la Baie des Pirates, Wave Money et Lizard Miror. L'essentiel n'est pas de voyager avec cette ville, mais de ressentir la liberté de création qui s'y trouve.

La plupart des habitants sont des oiseaux de toutes formes, cela n'empêche aucunement aux animaux terrestres d'y habiter et de commercer.