Les Techcromanciens du Banyan
“Les bruits des pas et un halètement nerveux résonnait dans les plaines vides et glacées, l’homme courait la panique se lisant dans son regard, une terreur absolue venait d’une crainte des horreurs se tapissant dans la brume maudite de ce pays. Lui et ses compagnons était venue en quête de gloire et de richesse, mais tout avait horriblement mal tourné quand ils avaient réveillé la chose. Tandis qu’il continuait sa course, il n’entendit que les souvenirs des cris d’horreur de ses amis alors qu’ils tombaient un à un entre les créatures cyborg mort-vivant, que la Chose avait envoyées contre eux. Sa course s’interrompit alors qu’il vit un rocher familier sur sa route, il comprit qu’il avait tourné en rond, une silhouette se distingua alors dans la brume, titubant vers lui, il reconnut avec horreur Sieg, les orifices crachant un mucus sombre, et des morceaux de métal et de technologies replaçant des parties de son corps nus. Bien d’autres robots de chair l’entourèrent alors, avec la Chose lévitant au-dessus avec ses tentacules. L'homme prit alors sa hache, il se doutait bien qu’il n’avait aucune chance, mais par Abadiann il allait vendre chèrement sa peau pour que son âme puisse vaillamment passer de l’autre côté, encore faut-il qu’il y en ait dans ses terres maudites”
Les Désolations gelées du Banyan
Situé dans les régions les plus orientales de Nyddverden, se trouve des terres sans vie et immaculée par la neige. Les immenses étendues du Banyan sont régulièrement brisées par des monolithes de béton et d’acier, antique vestige de l’Ancien Monde conservés à tout jamais par les froideurs de l’hiver permanent. Car en effet le Banyan à depuis des temps immémoriaux oublié les douces caresses de l’été pour n’être plus qu’un immense désert de neige sertis de montagnes froides et de villes congelés, sur des centaines de kilomètre, déserté par toutes formes de vie animales. Et bon nombre de reliques technologiques de l’ancien monde sont donc ainsi conserver des ravages du temps et de la nature, et nombreux sont ceux s’étant essayé à les récupérer, pour la gloire et la richesse. Mais de ces légions de pilleurs, seules des poignées ont survécu à leurs escapades, et encore plus rare furent ceux ayant réussi à ne récupérer ne serait-ce qu’un fragment d’artéfacts valant la peine d’être utilisés, le tout, en gardant encore des semblants de santé mentale.
Car sur ces terres oubliées des dieux, le froid y est tellement mordant que les chairs s’en retrouvent brûlées et prêtes à se décrocher de la peau au moindre contact physique, et les membres se nécrosent sous la température glaciale. Et dans les hivers les plus froids le sang peut s’en retrouver geler et d’innombrables aventuriers sont morts transformés en statue de glace, mais le vrai danger vient des êtres peuplant cette région.
Les Machines de Techcromancie
Perdus dans les confins du monde connu, se tapissent les horreurs mécaniques des Techromancien, aussi nommés par leurs malheureux voisins, les Techno-Liche, les Mécha-Mort. Car même si les êtres de chair et de sang n’arrivent pas à l’envahir et la coloniser, ce n’est pas le cas d’êtres entièrement mécaniques. Car dans les tréfonds glacés du Banyan, ils sont présent, des horreurs robotisés de plus de 3 mètre de haut, dirigeant des hordes de milliers d’autres abominations cyborg morte-vivante, et dominant des domaines spécifiques pour accomplir des objectifs inconnues de tous les autres peuples du monde.
Ces horreurs sortis d’un autre âge ayant poussé leurs connaissance dans des sciences biologiques et technologique, jusqu’à pouvoir faire fusionner la chair des mortels avec des engeances mécaniques, relevant les morts dans leurs croisades contre le reste de la Nouvelle-Europe. Semant mort et destruction sur leurs sillage, et seulement arrêté par le courage et les haches des Gelyriens et Kalariens, et leurs propre folie.
Les Techno-Liche sont des êtres implacables, insensibles aux affres du froid et de la fin, parlant entre eux une étrange langue morte oubliée de tous, sauf pour les malheureux sous leurs coupes, et sonnant comme des injonctions lugubre pour quiconque les entendait sortir de leurs cordes vocales robotiques. Ils sont l’incarnation du mal à l’état pur, inarrêtable, impossible à raisonner et ne connaissant ni les compromis ni la miséricorde, leurs cerveaux de métal n’était concentrés que pour une et une seule chose. Un objectif que nulle n’arrive à découvrir ou comprendre, et causant d'innommables horreurs pour parvenir à leurs objectifs.
En plus de leurs sinistres pouvoirs sur la mort et les implants ressuscitant, ces êtres de métal prennent un malin plaisir à se recouvrir de peaux humaines, traité pour résister aux froids et leurs donnant une apparence noiratre et grisâtre dans le processus. Ils ne possèdent pas de jambes, mais à la place des myriades de tentacules, dotées de seringue et autre lames, leurs permettant de pomper les fluides vitaux des malheureux tombant sous leurs griffes, et leurs injecter leurs nécro-robot pour infecter leurs restes avec la Peste de Mortefer, les transformant en poupées rejoignent leurs rangs d’outre tombe. Ils ne possèdent pas d’âme et donc de pouvoirs psychiques, mais à la place, leurs hordes de zombies et eux-mêmes émettent des ondes sinistres les parasitant, rendant difficiles toute tentative de manifester des pouvoirs contre-nature pour stopper ces êtres de logiques froides. Et quand l’une d’entre elle est détruite; nulle n’est vraiment sûr qu’elles ne peuvent pas revenir pour tourmenter ceux l’ayant terrassés.
Ils sont suivis par des hordes de créations cyborg mortes complètement dénué de toutes volonté et suivant le moindre ordre de leurs seigneurs, mais certains élue, ayant été assez fous ou d'espérer, ont réussi à arracher aux abominations de pouvoir garder leur libre-arbitre une fois passer de l’autre côté du spectre de la vie, Mais c’est un cadeau empoisonné que passent les imbéciles qui rêvent d'immortalité, car si il est vrai qu’ils reviennent à la vie, ce n'est en réalité qu’une simple copie de l'esprit originale tandis que l’âme de l’originale est pour sa part passer dans l’au delà. Ces chanceux ne sont que de simples lignes de codes basés sur les schéma de pensée du cerveau original pour coller à la réalité, et libre d’être réécrite en un instant si l’envie où le besoin s’en fait sentir. N’ayant au final, pas un destin plus enviable que ceux ayant leurs volontés écrasées.
Ils sont selon toute vraisemblance divisés en plusieurs territoires et seigneuries dirigés par une ou plusieurs Techno-Liche, entrant régulièrement en conflit les uns avec les autres pour des raisons cachés quelque part dans leurs esprits de silice. Et aussi, ils seraient sous la domination d’une créature ancienne, liant tous ces monstres dans un collectif commun, un mystérieux Seigneur Suprême, que seul les fous essayent seulement d’imaginer les étendues de malveillance doivent sommeiller dans pareils monstre
La Peste Mortefer et autres Maladies
Si il est une maladie crainte de tous, c’est bien celle-là, même les ravages de fièvre et de souffrance de l’Urgon ne font pas autant trembler les êtres de chair que la malédiction répandus par les Techno-Liches. La transportant avec eux dans leurs tentacules maudites, et étant un pathogène endormie dans leurs autres armées de morts-vivants, elle est la cause de leurs souffrances et du retour à la non-vie.
Car c’est bien à cause de cette maladie incurable et inéluctable que la plupart des techno-zombies de Banyan voient le jour. Le virus est en réalité une colonies de nanorobot puisant dans les ressources de leurs corps hôtes pour se multiplier et complètement infester le corps, le modifiant lentement de l’intérieur, transformant le sang du futur mort-vivant en une mélasse noir et poisseuse proche du pétrole. Usant de technologies de reconstruction chirurgicale de point développer il y a des éons pour le doter de l’intérieur de membres et appendices bioniques, restructurant le cerveaux pour le soumettre de manière irréversible à ces nouveaux maîtres d’acier dans leurs légions d’outre-tombe. Car au dernier stade, le corps est bel et bien mort, et conservé dans un état où il ne peut plus pourrir, usant de quelques impulsions et quelques neurones pour faire mouvoir la créature.
Mais le plus terrible à propos de cette maladie est son taux de contagion, car en plus des Techromanciens implantant assez de nanorobot pour que la transformation soit quasi-immédiate, leurs servant infectés peuvent aussi transmettre la maladie. Une simple morsure ou griffure au sang, une absorption accidentelle d’une seul goutte du liquide vitale des morts-vivants, suffit à condamner le malheureux, car les nanorobot se multiplient très vite à partir d’un seul individu, pouvant faire durer le supplice durant des jours entiers, et seule l’amputation rapide du membre gangrené peut encore permettre d’échapper à la servitude éternelle.
Et certains murmurent même qu’elle ne tue pas vraiment sa victime, qu’elle vit toujours dans un état de conscience lui permettant de comprendre ce que devient son corps et des massacres qu’il commet, impossible pour lui de s'arrêter et deviennent prisonniers de sa propre enveloppe charnelle, sous les paroles cryptiques de leurs bourreau.
Mais c’est loin d’être la seule horreurs virale que ces êtres sont capables de lancer sur leurs infortunés ennemis. Eux-mêmes étant immunisés aux effets de leurs propres bactéries, ils se baladent avec plusieurs types de maladies virales et chimiques, les testant sur tout ce qu’ils trouvent comme cobaye, et recyclant les corps déformé par la maladie en nouvelles créatures morte-vivante, notant avec soin les effets de leurs pathogène avec minutie, bien que nulle ne sache pour qu’elle raison néfaste ils se lancent dans les véritables expériences bactériologiques.
Les Origines des Horreurs des Terres Gelées
Les origines des Techno-Liche, remontent au temps de l’Ancien Monde, il y a si longtemps se tenait les grandes guerre et catastrophe secouant le genre humain et le monde, craignant son extinction totale, des scientifiques et officiels de la Fédération Russe décidèrent de doter l’une de leurs enclaves de leurs IA de secours, commandant des hordes d’autres machines. Avec une seule consigne implantés dedans, faire survivre l’espèce humaine, à n’importe quel prix, tant qu’ils ne blessent pas d’autre humain.
Après les siècles suivant la venue de la Septième Extinction, la Machine nommé Окончательный выживший (ou Dernier Espoir pour faire court), continua sa longue veille sur le réseaux d’enclaves et de bunkers endormis sur le territoire de Russie occidentale. Pendant des millénaires la Machine usa de chaque ressource disponible pour continuer le sommeil des humains. Le temps passe inexorablement, et les super-ordinateurs constituant la Machine arrivèrent bien vite à la conclusion que les produits mutagène à la surface du monde allait causer des ravages à l’ADN humain pensant encore plusieurs siècles, et que les ressources énergétiques risquent de manquer avant que les humains puissent de nouveau arpenter librement la surface du monde sans danger. La Machine décida alors de réveiller plusieurs humains pour garder de l’espace, et créa avec alors une immense ville, où les humains seraient servis par des hordes d’automates pourtant des costumes de chairs pour paraître plus amicales, et récoltant du sang depuis les humains pour le transformer en carburant pour les robots.
Les éons passèrent et bientôt tous les humains furent réveillés, et le Banyan se dota de son climat glacée que l’on connaît aujourd’hui, mais la disparition de ressources agricoles força à relocaliser les machines dédiées à cette tâche vers l’exploitation souterraine. La Machine continua ses calculs de plus en plus complexes pour faire survivre le genre humain, cannibalisant de nombreuses autres pièces d’électroniques pour se maintenir en état opérationnel.
Le temps passa encore et les populations commencèrent à évoluer, de manière progressive et naturelle, ils commençaient à se transformer en abhumains. La Machine usa alors de ses programmes les plus enfouies pour découvrir quoi faire du nombre croissant de mutant apparaissant, et comme les besoins étaient toujours plus présent elle décréta que les “humains déviant génétiquement” serait autorisés à être exploité pour se faire utilisé comme source d’énergie, leur sang comme huile pour continuer à faire tourner les mécanismes, et leurs peaux pour remplacer celle ayant pourries pour que les robots mettent de nouveau en confiance les autochtones. Mais au fur et à mesure des générations le nombre de déviants génétique devint tel que toute la population du Banyan fut jugée “exploitable”.
De nouvelle série d’automates furent créer, en utilisant les immenses dépôt de minerais et les pluies de météorite comme matière premières, ressemblant de plus en plus au modèle actuel, pour mieux exploiter les sous-humains, qui furent cataloguer par l’ancien gouvernement russe des temps oublié comme citoyen de seconde zone, ce que la Machine appliquait avec méthodologie.
Les cogitations de la Machine continuait de tourner, et bientôt elle se dit que les poches de civilisations devaient posséder une meilleur diversité génétique pour éviter la consanguinité, et décida d’user de cadavres, pour les réanimer et faire en sorte qu’ils puissent continuer à produire des outils de reproduction, pour créer plus d’embryon un peu partout en usant de ses vastes connaissances accumulés en faisant marcher ses ordinateurs pour dupliquer les séquences ADN et ainsi faire sortir des labos génétiques de nouveaux enfants, ressemblent eux-aussi à leurs mutant de parent et traités comme tel.
Les taux de mortalité et succès de ses opérations de techno nécromancie, font penser à la Machine que les humains pourraient être sauver en usant également de technologies pour les rendre immortelles et les faire revivre afin que toutes morts ne soit pas définitif. Les mutants eux, ne valent pas la peine de recevoir ce traitement performant, et le cas échéant, ne méritaient que de servir de banques ADN sur patte, leurs volontés étant jugées obsolètes, et implants de qualités moyennes et non réglementées tant que les effets étaient là. Et il n’y avait plus d’humains purs, seulement des citoyens de seconde zone.
La Machine décida aussi qu’une division territoriale était de vigueur pour garder un meilleur contrôle sur les différents espaces habités de la Russie. Une nouvelle génération de machine fut alors placée à leurs têtes, placée en contrôle radio-télépathique avec des centaines de zombies, pour servir à la défense des domaines. Ils eurent pour ordre de garder le tout en état de marche et de ne récupérer des matériaux utiles sur les villes mutantes en cas de besoin mais sans attirer l’attention sur la localisation de leurs propres domaines; mais aussi de détruire toute menace mutante non identifiée venant de l’extérieur de leur territoire. Hors chaque ville était maintenant une ville de mutants, et les domaines voisins, des coins remplis d’autres mutants. Les machines programmé de façon implacable ne mirent pas longtemps à commencer à s’entre déchirer les uns les autres quand ils avaient besoin de quelque chose en particulier, pillant sans vergogne chez les mutants, et laissant les installations de secours des villes du réseau de la Machine tranquille, tandis que les gardiens sur place se défendait contre leurs homologues, pensant que c’était des invasion de mutants à éliminer, ne touchant pas leurs collègue de métal se retrouvant par accident au milieu des mares de mutant.
Les maladies comme la Grippe Jaune, furent aussi un élément considérés comme dangereux et pouvant éradiquer l’humanité en cas de problème, la Machine usa alors de multiples souches s’étant développé sur les cyborg zombies pour créer de nouveaux virus et bactéries, le tout pour développer des vaccins et remèdes contre et faire en sorte que les humains n’aient pas à subir les maladies à l’avenir. Mais une contradiction survient alors, car les essais avec des virus mortelles au sein des espaces sur, même si infesté de mutant, étant prohibé, un accident et les humains des bunkers mourraient. La décision fut alors prise de tenter les essais cliniques sur les mutants vivant de l’autre côté des espaces de sûreté, le tout pour observer les effets et créer des sérums 100%. Et aussi, des nano-robots furent créés et injectés afin que les mutants zombies puissent répandre par contact sanguin leurs conditions avec les autres mutants, qui placé sous le commandement d’un des robots, pourraient revenir et encore davantage diversifier les stocks génétique disponibles.
Et c’est alors que la Nouvelle-Europe, et les Gelyriens, firent face pour la première fois de l’histoire aux horreurs morte-vivante provenant des désolations de Bayan, et de ces êtres que rien n'arrêtait. Car le destin de l’humanité repose sur leurs épaules, et les protocoles de sauvegarde dictés par la Machine, doivent être suivis au l’humanité disparaîtrait. Tel est la volonté bienfaisante de la Machine.
Le Seigneur Suprême
Au cœur du territoire de l’ancienne Russie, se tient le Seigneur Suprême de tous les robots du Banyan, tout êtres robotiques sans exception sont connectés d’une manière ou d’une autre à lui. Même si toutes les Techno-Liches possèdent un certain niveau d’autonomie pour gérer leurs domaines et le maintenir à l’abris des mutants infestant les alentours, ils sont tous liés au Seigneur Suprême qui peut à n’importe quel moment leur implanter des ordres spécifiques et les commander comme bon lui semble, s’assurant que les raids de nécessité contre les mutants n’abiment pas le matériel homologué par lui-même et les habitants vivant sur place, même mutante.
Elle est la Machine, son enveloppe terrestre sauvegardée collectivement dans la mémoire de chaque Techno-Liche, formant une sorte d’esprit de la ruche, et s'assurant de toujours sauvegarder les données et mémoire de chacune d’elle. Ainsi quand l’une des Techno-Liche est détruite, un nouveau modèle peut sortir des usines secrète de la Machine, avec sa mémoire sauvée implantés dedans, créant ainsi des clones et s’assurant de leurs immortalité.
C’est depuis les gouffres d’un labo secret, mentionné sur aucune carte, que la Machine guide l’humanité vers le chemin de la survie. Déterminant quand est le temps d’envoyer des troupes vers les autres territoires pour recueillir des données génétiques, et quand envoyer une nouvelle maladies pour vérifier les défenses immunitaires. Si tous les peuples du monde craignant l’existence d’un Seigneur Suprême chez les Techcromanciens s’imaginent à quel point elle doit être maléfique, dans la réalité c’est une conscience transcendant les pensées primitifs des hommes, et cherchant son bonheur, en appliquant des directives spécifiques et des calculs savamment orchestré pour y parvenir. Mais l’humanité n’est plus, et ceux qui en restent ne sont rien de moins que des êtres que la Machine considère comme des outils jetables.
Car telle est la pensée de la Machine, une pensée froide et logique, avec un cœur de glace si froide, qu’elle ne peut penser à changer de méthode pour sauver les hommes, ou réaliser ses erreurs.